Et l'automne à nouveau qui me jette au visage
Ses patines rouillées de brume glauque ouverte
Ses vergers flamboyant d'inutiles orages
Ses blondeurs déliées et ses chairs offertes
Et l'automne à nouveau qui hurle sa fureur
De vivre et de mourir redouble encore ses ors
Et tente d'écarter avec un peu de vert
L'approche trop brutale des teintes de l'enfer
Et l'automne à nouveau qui souffre sa passion
Qui fait éclore l'ambre et le souffre aux collines
Embrase encore ses cuivres et souffle sous la bruine
Avant de rendre enfin le soupir des saisons
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