Ton visage a surgi du néant d'un voyage
Par la fenêtre ouverte la lumière du matin
Des fleurs sous tes paupières éblouies par l'orage
De l'infinie douceur de nos nuits de satin
Tel un oiseau fragile s'envolant vers l'azur
Mon coeur en frémissant dans son manteau d'argent
A déployé ses ailes et trouvé la ramure
De tes bras accueillants pour s'y poser j'entends
Ta voix chanter au monde la joie de nos promesses
L'horizon éclairci accompagne mes rêves
Tu es venu vers moi les vagues sur la grève
Roulent sans fin nos doigts en d'infinies caresses
Et voguent les colombes dans le ciel de ma vie
L'albatros fier et pur et la mouette rieuse
Nos silhouettes nimbées d'une aura merveilleuse
S'éloignent à tire-d'aile, heureuses, vers l'infini
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