Juste un cri pour tuer le printemps
Un silence pour toute musique
Un abîme ou plonge le temps
En l'absence de la pierre magique
Mes mains courent après le chagrin
Serrent dans le vide le filin
Qui relie mon corps à ce monde
D'où s'échappe mon âme qui tombe
Dans l'abîme infini de l'espace
Où j'espère en vain que s'efface
Le charme atroce que m'a jeté
Un sourcier au pays des fées
lundi 21 mars 2011
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