ENVOL
Technique mixte 60x90 cm HND 2019
lundi 9 septembre 2019
jeudi 9 mai 2019
NUAGES poème mai 2019
Je veux garder en moi l'éclat de tes yeux clairs
Les souvenirs heureux de ces jours oubliés
Où tu riais gaiement en m'appelant ma chère
Comme un enfant joyeux au retour de l'été
Tu dis le poids des ans tu dis la voix des sages
Mais l'éternel printemps dans nos âmes esseulées
Danse encore comme font dans le ciel les nuages
Et je revois encore l'Abbaye à nos pieds
Sur les chemins de ronde hantés par les archers
Tu me prenais la main tu m'expliquais le monde
Et moi je reste seule encore chaque seconde
Suspendue hors du temps ravie émerveillée
Je veux garder en moi l'éclat de tes yeux clairs
Les souvenirs heureux de ces jours oubliés
Où tu riais gaiement en m'appelant ma chère
Comme un enfant joyeux au retour de l'été
Tu dis le poids des ans tu dis la voix des sages
Mais l'éternel printemps dans nos âmes esseulées
Danse encore comme font dans le ciel les nuages
Et je revois encore l'Abbaye à nos pieds
Sur les chemins de ronde hantés par les archers
Tu me prenais la main tu m'expliquais le monde
Et moi je reste seule encore chaque seconde
Suspendue hors du temps ravie émerveillée
mercredi 24 avril 2019
LE COEUR CITHARE
Dans les jardins de ma mémoire
La terre sous mes pas se souvient
De ta voix dans le chant du soir
Et de la douceur de tes mains
Et souvent je laisse dans le noir
S'ouvrir devant nous les chemins
Ourlés de myrtes et de moires
Jaillis des plus vieux parchemins
Aujourd'hui tu dis mais trop tard
L'amertume qui ton âme étreint
La magie des premiers matins
S'est brisée comme un vieux miroir
Moi devant je suis déjà loin
J'ai tout bu de tous les ciboires
Recousu de pourpre satin
Les lambeaux de mon coeur cithare
Dans les jardins de ma mémoire
La terre sous mes pas se souvient
De tes mots dans le vent du soir
Et de ta voix qui n'est plus rien
Dans les jardins de ma mémoire
La terre sous mes pas se souvient
De ta voix dans le chant du soir
Et de la douceur de tes mains
Et souvent je laisse dans le noir
S'ouvrir devant nous les chemins
Ourlés de myrtes et de moires
Jaillis des plus vieux parchemins
Aujourd'hui tu dis mais trop tard
L'amertume qui ton âme étreint
La magie des premiers matins
S'est brisée comme un vieux miroir
Moi devant je suis déjà loin
J'ai tout bu de tous les ciboires
Recousu de pourpre satin
Les lambeaux de mon coeur cithare
Dans les jardins de ma mémoire
La terre sous mes pas se souvient
De tes mots dans le vent du soir
Et de ta voix qui n'est plus rien
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