Amira Willighagen - Ave Maria - for English-speaking ...
www.youtube.com/watch?v=FUnrLMvpQLk
jeudi 25 décembre 2014
Ecoutez Amira : Merveille des Merveilles
vendredi 19 décembre 2014
jeudi 18 décembre 2014
samedi 15 novembre 2014
jeudi 13 novembre 2014
jeudi 30 octobre 2014
vendredi 29 août 2014
LE PASSAGER poème 29 août 2014
Sur le brumeux chemin des Sages
Où s'est éteint toute souffrance
J'ai vu passer ton attelage
Bruissant dans les plis du Silence
J'ai revu ces regrets ces joies ces souvenirs
Ces mélancolies tristes cachant nos désespoirs
Ces petits matins clairs où revenait pâlir
Une ultime espérance qui se mourait le soir
Et derrière l'écran vide et chagrin des nuages
Qui cachaient le soleil et ombraient ton visage
J'ai reconnu l'éclair bleuté de tes yeux pâles
Qui posaient l'éternelle Question du dernier Râle
Où es-tu Passager de la lande et du vent
As-tu enfin compris le sens de mon Présent
Les paroles inaudibles des Morts et de leur Chant
Sur le brumeux chemin du Temps
Où s'est éteint toute souffrance
J'ai vu passer ton attelage
Bruissant dans les plis du Silence
J'ai revu ces regrets ces joies ces souvenirs
Ces mélancolies tristes cachant nos désespoirs
Ces petits matins clairs où revenait pâlir
Une ultime espérance qui se mourait le soir
Et derrière l'écran vide et chagrin des nuages
Qui cachaient le soleil et ombraient ton visage
J'ai reconnu l'éclair bleuté de tes yeux pâles
Qui posaient l'éternelle Question du dernier Râle
Où es-tu Passager de la lande et du vent
As-tu enfin compris le sens de mon Présent
Les paroles inaudibles des Morts et de leur Chant
Sur le brumeux chemin du Temps
mercredi 4 juin 2014
REMINISCENCES poème juin 2014
Elle était le Soleil et la Lune et la nuit
L'encerclait de ses bras le doux parfum bleuté
Enivrait doucement les paroles de Celui
Qu'elle avait vu en rêve attirant le Danger
Où es-tu toi qui ris sous la pluie des étoiles
Vogues-tu loin de moi vers des contrées lointaines
As-tu trouvé la Voie vers d'autres vol-à-voiles
Quand ton Esprit s'évade en voltiges incertaines
Penses-tu à nos Jeux quand d'Autres vocifèrent
Quand tu retournes seul aux falaises de Pierre
Trouves-tu sur ta route le Divin Lucifer
Qui portait la Lumière sur nos Chemins déserts
Elle était le Soleil et la Lune et pourtant
L'Hiver a emporté dans son froid de Cristal
Leurs silhouettes exsangues noyées dans le Canal
Enlacées pour toujours dans la Fuite du Temps
L'encerclait de ses bras le doux parfum bleuté
Enivrait doucement les paroles de Celui
Qu'elle avait vu en rêve attirant le Danger
Où es-tu toi qui ris sous la pluie des étoiles
Vogues-tu loin de moi vers des contrées lointaines
As-tu trouvé la Voie vers d'autres vol-à-voiles
Quand ton Esprit s'évade en voltiges incertaines
Penses-tu à nos Jeux quand d'Autres vocifèrent
Quand tu retournes seul aux falaises de Pierre
Trouves-tu sur ta route le Divin Lucifer
Qui portait la Lumière sur nos Chemins déserts
Elle était le Soleil et la Lune et pourtant
L'Hiver a emporté dans son froid de Cristal
Leurs silhouettes exsangues noyées dans le Canal
Enlacées pour toujours dans la Fuite du Temps
mercredi 7 mai 2014
mardi 6 mai 2014
lundi 28 avril 2014
SI DOUCE poème avril 2014
Je suis la Grande Prêtresse des Ourses
Celle qui sourit quand vient la nuit
Je suis libre et je communie
Avec les étoiles dans leur course
Et je tresse le lierre et l'armoise
Qui épousent dans le silence
La trame de ce monde immense
Qui vit caché sous les ardoises
Et je dessine sous la lune
Les cercles de vos Destinées
Je grave dans la pierre les runes
Je tourne la Roue de l'Année
Je suis des forêts la Maîtresse
Je préside aux cérémonies
Qui ouvrent les portes de la Vie
J'accouche les âmes en détresse
Je suis la Grande Prêtresse des Sources
Qui murmurent au creux des Rochers
Avant d'épandre sur la mousse
L'Eau Pure de la Vérité
Je suis la Grande Prêtresse des Ours
Celle qui régit le Genre Humain
C'est moi qui porte dans mes mains
Les Secrets de la Mort si Douce
Celle qui sourit quand vient la nuit
Je suis libre et je communie
Avec les étoiles dans leur course
Et je tresse le lierre et l'armoise
Qui épousent dans le silence
La trame de ce monde immense
Qui vit caché sous les ardoises
Et je dessine sous la lune
Les cercles de vos Destinées
Je grave dans la pierre les runes
Je tourne la Roue de l'Année
Je suis des forêts la Maîtresse
Je préside aux cérémonies
Qui ouvrent les portes de la Vie
J'accouche les âmes en détresse
Je suis la Grande Prêtresse des Sources
Qui murmurent au creux des Rochers
Avant d'épandre sur la mousse
L'Eau Pure de la Vérité
Je suis la Grande Prêtresse des Ours
Celle qui régit le Genre Humain
C'est moi qui porte dans mes mains
Les Secrets de la Mort si Douce
dimanche 27 avril 2014
SOUVENIR poème avril 2014
Je repense à nos souvenirs
Cet anniversaire bleu de Mai
Tes yeux luisaient comme un saphir
Et moi dans mon coeur je gardais
Des mots en prévision du Pire
Des chants d'oiseau, des plumes de geai
Les cailloux blancs du souvenir
Les fils d'or que mon coeur brodait
Je savais que le temps viendrait
Effacer nos voix et nos rires
Mais les dieux activent en secret
Un feu qui ne veut pas mourir
Et je vais seule sur les murets
Semant le doute, serrant ma lyre
Brûlant les ailes du désir
D'un temps figé dans un carnet
Sur le lac blanc à m'éblouir
Sur les routes où tu me guidais
Surgit encore l'accord parfait
Par la Magie du Souvenir
Cet anniversaire bleu de Mai
Tes yeux luisaient comme un saphir
Et moi dans mon coeur je gardais
Des mots en prévision du Pire
Des chants d'oiseau, des plumes de geai
Les cailloux blancs du souvenir
Les fils d'or que mon coeur brodait
Je savais que le temps viendrait
Effacer nos voix et nos rires
Mais les dieux activent en secret
Un feu qui ne veut pas mourir
Et je vais seule sur les murets
Semant le doute, serrant ma lyre
Brûlant les ailes du désir
D'un temps figé dans un carnet
Sur le lac blanc à m'éblouir
Sur les routes où tu me guidais
Surgit encore l'accord parfait
Par la Magie du Souvenir
lundi 7 avril 2014
ECHEC poème avril 2014
Où étais-tu quand pleurait aux fontaines
Ton elfe qui se mourait de froid
Quelles promesses, quelles paroles vaines
As-tu trahies pour oublier sa voix
Sa voix qui hante encore les fontaines
Ses mots qui parlent encore de toi
De toi qui te caches et qui saignes
Qui pleures d'avoir perdu la foi
Qui pleures dans la nuit de Beltaine
Qui sens la vie fuir dans tes doigts
Qui te traînes seul aux fontaines
Et qui fait semblant d'être toi
Sur le Grand Echiquier où sereine
Elle promène son Fou et son Roi
Il manque un maillon à sa chaîne
Et ce Prince Noir-là, c'est toi
Comme l'oiseau lassé des plaines
Revient vers les crêtes et tournoie
Ton ombre tourne autour de ta peine
Ce désir devenu désarroi
Retourne pensif aux fontaines
Cherche encore la clé d'autres joies
Trouve d'autres rimes à Sélène
Tu verras que tu n'as pas le choix
Ton elfe qui se mourait de froid
Quelles promesses, quelles paroles vaines
As-tu trahies pour oublier sa voix
Sa voix qui hante encore les fontaines
Ses mots qui parlent encore de toi
De toi qui te caches et qui saignes
Qui pleures d'avoir perdu la foi
Qui pleures dans la nuit de Beltaine
Qui sens la vie fuir dans tes doigts
Qui te traînes seul aux fontaines
Et qui fait semblant d'être toi
Sur le Grand Echiquier où sereine
Elle promène son Fou et son Roi
Il manque un maillon à sa chaîne
Et ce Prince Noir-là, c'est toi
Comme l'oiseau lassé des plaines
Revient vers les crêtes et tournoie
Ton ombre tourne autour de ta peine
Ce désir devenu désarroi
Retourne pensif aux fontaines
Cherche encore la clé d'autres joies
Trouve d'autres rimes à Sélène
Tu verras que tu n'as pas le choix
vendredi 14 mars 2014
NEVER DIE poème mars 2014
I will lay me down under the earth
Just to see how the green grass grows
I will lay my body down till the borders of birth
Apart all of you my love, friends and fellows
No doubt, no sorrows
Don't ever be sad
When you sometimes come to browse
The dreams we had
I will sail away with my bloody wings
Through the clouds and end of future
You'll be able to watch my sweet swings
Between rain and sunny weather
As a wonderful rainbow light in the sky
I'll be free and happy and conscious
That the remembrance of our glorious
Feelings would make me never die
Just to see how the green grass grows
I will lay my body down till the borders of birth
Apart all of you my love, friends and fellows
No doubt, no sorrows
Don't ever be sad
When you sometimes come to browse
The dreams we had
I will sail away with my bloody wings
Through the clouds and end of future
You'll be able to watch my sweet swings
Between rain and sunny weather
As a wonderful rainbow light in the sky
I'll be free and happy and conscious
That the remembrance of our glorious
Feelings would make me never die
mercredi 26 février 2014
GRAVURE poème février 2014
Sur les murs de notre innocence
Sont gravés les mots les plus doux
Ceux qui brillent par leur absence
Quand surgit l'oubli qui rend fou
De ces jours bleuis par l'hiver
Il ne reste que le silence
Cet espoir brisé par l'amer
Sur les rives de notre inconscience
Il ne reste que ton regard
Qui s'efface au flanc des collines
Où s'est arrêtée notre Histoire
Quelques mots tapés, quelques lignes
Dans tes yeux qui disaient "je lâche"
Je m'enfuis dans ma Solitude
Je préfère de loin l'Habitude
Dans la Cathédrale des Lâches
Sont gravés les mots les plus doux
Ceux qui brillent par leur absence
Quand surgit l'oubli qui rend fou
De ces jours bleuis par l'hiver
Il ne reste que le silence
Cet espoir brisé par l'amer
Sur les rives de notre inconscience
Il ne reste que ton regard
Qui s'efface au flanc des collines
Où s'est arrêtée notre Histoire
Quelques mots tapés, quelques lignes
Dans tes yeux qui disaient "je lâche"
Je m'enfuis dans ma Solitude
Je préfère de loin l'Habitude
Dans la Cathédrale des Lâches
mercredi 12 février 2014
LA VIE poème février 2014
Portée par nos joies et nos peines
Et sublimée par les adieux
La vie s'avance et nous mène
Vers d'autres cieux
De nos rires et de nos alarmes
De nos luttes pour exister
Que restera-t-il de nos larmes
Dans nos âmes ensorcelées
A toi qui me portes en ce monde
Je veux dire et je veux chanter
Que la Vie est comme une ronde
Qui nous parle d'Eternité
PARLE-MOI DU GRAND MYSTERE
collage / huile sur papier HND février 2014
Et sublimée par les adieux
La vie s'avance et nous mène
Vers d'autres cieux
De nos rires et de nos alarmes
De nos luttes pour exister
Que restera-t-il de nos larmes
Dans nos âmes ensorcelées
A toi qui me portes en ce monde
Je veux dire et je veux chanter
Que la Vie est comme une ronde
Qui nous parle d'Eternité
collage / huile sur papier HND février 2014
dimanche 2 février 2014
NUIT poème février 2014
J'ai déserté le monde et tué les oiseaux
Qui bruissaient en mon coeur annonçant le printemps
J'ai étranglé les rêves de ma nuit et pourtant
La clé est toujours là qui ouvre le château
Mes semelles de vent sont comme des sabots
Lourds de leurs souvenirs et crottés de chagrin
Il fait nuit dans mon coeur le murmure de l'eau
Assourdit mes tympans et je ne vois plus rien
Où est cette cathédrale dont le feu des vitraux
Enchantaient les sous-bois et l'ocre des chemins
Ce sculpteur aux mains nues ce rêveur aux yeux clos
La pluie a effacé la trace de nos mains
Sur la lande assoupie engourdie de brouillard
Subsiste encore l'espoir et monte encore la sève
Des chênes qui se penchent sur l'eau de nos regards
Plus fort que la nuit noire dans le jour qui se lève
Qui bruissaient en mon coeur annonçant le printemps
J'ai étranglé les rêves de ma nuit et pourtant
La clé est toujours là qui ouvre le château
Mes semelles de vent sont comme des sabots
Lourds de leurs souvenirs et crottés de chagrin
Il fait nuit dans mon coeur le murmure de l'eau
Assourdit mes tympans et je ne vois plus rien
Où est cette cathédrale dont le feu des vitraux
Enchantaient les sous-bois et l'ocre des chemins
Ce sculpteur aux mains nues ce rêveur aux yeux clos
La pluie a effacé la trace de nos mains
Sur la lande assoupie engourdie de brouillard
Subsiste encore l'espoir et monte encore la sève
Des chênes qui se penchent sur l'eau de nos regards
Plus fort que la nuit noire dans le jour qui se lève
lundi 13 janvier 2014
ELLE poème janvier 2014
Elle est celle par qui je respire
Elle est mon murmure et ma joie
Elle est ma confidence du pire
Elle est ma prière et ma foi
Elle est la couleur de mon rire
Elle est le souvenir de moi
Elle est la douceur du sourire
Elle est mon coeur elle est mon toi
Elle est le piège auquel j'aspire
La révélation de ma Loi
Elle est la colline et j'attire
Les neiges éternelles par sa voix
Qu'elle apparaisse pour s'évanouir
Tour à tour ange ou oiseau de proie
Je la serre à n'en plus finir
Dans le champ d'azur de mes bras
Elle est mon murmure et ma joie
Elle est ma confidence du pire
Elle est ma prière et ma foi
Elle est la couleur de mon rire
Elle est le souvenir de moi
Elle est la douceur du sourire
Elle est mon coeur elle est mon toi
Elle est le piège auquel j'aspire
La révélation de ma Loi
Elle est la colline et j'attire
Les neiges éternelles par sa voix
Qu'elle apparaisse pour s'évanouir
Tour à tour ange ou oiseau de proie
Je la serre à n'en plus finir
Dans le champ d'azur de mes bras
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