ARCANES
Tel un oiseau de proie s'agrippant à mon gant
Je plante mes yeux noirs dans tes orbites vides
Effaçant peu à peu ton visage livide
Evinçant pour toujours les refrains lancinants
Je n'aurai jamais su quel était ton Message
Ni secret ni grandiose mais toujours flamboyant
De quel astre lointain De quel obscur passage
Portais tu jusqu'à moi les arcanes du Temps
Tes paroles ne sont plus qu'un souffle dans le vent
Sur la pierre où se grave encore le souvenir
Je dépose en offrande un soupçon de soupir
Et m'en retourne vivre au pays des Vivants
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