Tu as mis ta robe, opaline
Et tu as coiffé tes cheveux
Puis tu as lacé tes sandales
Et regardé
Par la fenêtre ouverte de ta chambre
Le ciel d'été
Alors tu as ouvert ta porte
Et tu es partie vers lui
A travers les champs de colza
Sur la route poussiéreuse et brûlante
Tu es partie vers lui
Il t'a ouvert sa porte
Et tu es entrée chez lui
Alors il a enlevé ta robe, opaline
Et il a décoiffé tes cheveux
Puis il a délacé tes sandales
Et regardé
Par la fenêtre ouverte de tes yeux
Ton âme
dimanche 17 avril 2011
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