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FUITE poème 15 novembre 2011
Et je reste
seule au flanc des collines
Ouvrant dans mon âme des brèches de feu
Pleurant sous les branches errant sous la bruine
Maquillant mes larmes enterrant le bleu
Des heures lumineuses brisées par l'hiver
Qui rabat d'un coup les feuilles sur le sol
Fait fuir les oiseaux fait taire leur envol
Pour mieux écarter les promesses d'hier
Sur ce petit pont où je ne vais plus
Chaque ombre qui passe fond dans le néant
De nos voix si lasse l'armure de mon chant
Dans mon coeur néfaste le cri qui s'est tu
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