Sur ces terres anciennes où les nappes de brume
S'étendent sur les champs comme un cadeau du ciel
Résonne encore au loin le bruit sourd de l'enclume
Des hordes disparues sous les forêts vermeilles
Le martèlement lourd des cohortes romaines
Occupant le pays, les coeurs et les esprits
N'a pas éliminé la puissance des chênes
Qui se dressent ici encore comme un défi
Sur ce muret d'ardoise d'où j'observe l'azur
Je reprends vie
Je répare la faille, la brèche, la cassure
Je suis d'ici
jeudi 28 octobre 2010
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