Comme elle j'aurais voulu les poches pleines de pierres
Rentrer dans l'eau du lac et m'y laisser couler
Mais je n'ai pas su trouver le courage insensé
De vous abandonner sur ce chemin de Terre
Comme elle j'aurais voulu qu'on pleure mon destin
Qu'on plaide ma folie, mes errements de douleur
Mais elle, n'avait personne pour lui prendre la main
Et l'empêcher de laisser monter ses frayeurs
Car moi j'ai vos sourires, vos visages, vos voix
Qui disent dans la nuit "reste, nous sommes là,
Songe à tout ce qui fait ta richesse aujourd'hui"
Virginia, dans mes poches, j'ai du jasmin fleuri
dimanche 21 novembre 2010
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