lundi 28 février 2011

ERMENONVILLE poème février 2011

Je sais une maison à Ermenonville
Dont le jardin bordé de lilas
Recèle des trésors fragiles
Enterrés sous un magnolia

Si tu vas à Ermenonville
Cherche cette rue, tu verras
Gravé en façade un reptile
Tantôt vipère, tantôt boa

Je n'irai plus à Ermenonville
Il faut savoir tourner les pages
Mais ce jardin plein de jonquilles
Garde à jamais mon coeur en cage

Je t'offre ce souvenir en gage
De mon amour pour les voyages
N'y voit là que léger babil
De quelques statuettes d'argile

2 commentaires:

  1. Ermenonville constitue-t-il, à l'instar des nausicaa et autre isabeau, une idée furtive et néanmoins tenace qui a traversé ton esprit un soir d'inspiration ou représente-ce un endroit qui t'es cher et familier depuis fort longtemps à présent chère enfant?

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  2. je me suis réveillée en pleine nuit avec ce nom inscrit trés fortement dans mon esprit, j'ai écrit le poème sans comprendre ni savoir même si cet endroit existait; le lendemain matin, je suis allée voir dans le dictionnaire si cette ville existait...et j'ai eu des surprises.

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