Il dit tu me domines et je porte le monde
Dans mon éternité chancelante les secondes
Sont autant de bougies que son regard allume
Pour effacer la nuit noire de mon amertume
Dans mon éternité folle que le temps oublie
Les instants qui défilent s'arrêtent sur ma vie
Il dit tu me domines et ses mains dans mon dos
Sentent pousser les ailes de mon coeur crescendo
Il dit tu me domines mais je suis son soldat
Sa troupe son clairon son cor sa corrida
La lumière de sa vie son diamant ses carats
Il grave dans mon coeur les flammes des bougies
Il dit tu me domines mais sans lui la vie même
S'éteint et je m'étiole sans lui je ne suis rien
Qu'une enveloppe vide, qu'un jour blanc de carême
Dans mon éternité l'hiver n'a pas de fin
Il dit tu me domines ses bras recréent le monde
Dans mon corps accordé que transpercent les ondes
S'effondrent toutes les digues de mon âme en bataille
Qu'illumine lointaine la vision d'un Massaï
dimanche 27 mars 2011
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