Le chemin s'est ouvert devant nous
Le printemps nous fait délirer
Comme un aria à la flûte enchantée
La musique de Bach nous rend fous
Tu me parles de l'animal
Qui courait pourchassé par les chiens
Tu racontes effrénée sa cavale
Et je pense à mon destin
Je te dis tu pourrais en finir
Avec moi ainsi pour toujours
Je ne veux pas te voir mourir
Réponds-tu car ainsi je perdrais mon amour
Pourtant les hurlements des chiens
M'ont poussée au bord du ravin
Quelques mots ont suffi, mots stupides
Pour me faire basculer dans le vide
Qu'en est-il de ce ciel si bleu
Qu'en est-il de ta Vérité
Du soleil qui brillait dans nos yeux
Pour conjuguer le verbe aimer
mercredi 23 mars 2011
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